Dans le sillage de la semaine dernière massif de Petya ransomware attaque dans l’est de l’Europe, les chercheurs sont de parvenir à un consensus que l’incident a été politiquement motivés par la cyberattaque. Selon CNBC, l’OTAN Cooperative Cyber Defence Centre d’Excellence (CCD COE) a récemment émis une déclaration affirmant que l’attaque était comme le fait, par un état, un acteur ou d’un groupe avec l’agrément de l’état. Le développement signifie que la cyberattaque pourrait être considérée comme un acte de guerre, le déclenchement de l’Article 5 du Traité de Washington et convaincante alliés de l’OTAN pour répondre.
“Aussi important de systèmes de gouvernement ont été la cible, puis dans le cas où l’opération est attribué à l’état, cela pourrait compter comme une violation de la souveraineté”, a écrit Tomáš Minárik, chercheur à l’CCD COE direction du droit, dans le communiqué. “Par conséquent, cela pourrait être un fait internationalement illicite, ce qui pourrait donner l’ciblées unis plusieurs options pour répondre aux contre-mesures.”
“Cela pourrait être un fait internationalement illicite.”
La déclaration met l’CCD COE, parrainé par l’OTAN, la cybersécurité centre de recherche basé en Estonie, en accord avec les chercheurs penché sur les détails de l’attaque. Le Petya virus visait apparemment à la centrale ukrainienne institutions plutôt que d’un large éventail de rançon cibles, et l’Ukraine portait le poids de l’attaque. Ce fait, ainsi que les erreurs de base qui font de rançon sembler une mauvaise raison pour laquelle une campagne de cette ampleur et de la complexité, de fait, il semble comme les cyber-criminels n’étaient pas les coupables.
“L’opération n’était pas trop complexe, mais toujours complexe et assez cher pour avoir été préparé et exécuté par des non-affiliés pirates pour le plaisir de la pratique,” le Centre a écrit dans le communiqué. “Les Cyber-criminels ne sont pas en retard ce soit, que la méthode de collecte de la rançon a été si mal conçu que la rançon ne serait probablement pas à même de couvrir le coût de l’opération.”