La France se déplace à l’interdiction trompeuse anti-avortement sites web

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L’Assemblée Nationale française cette semaine décidé de sanctionner les sites qui propagent la “désinformation” à propos de l’avortement et de la propagation de la pro-vie de la propagande. La loi, a approuvé, jeudi, permettrait de punir les délinquants, avec jusqu’à deux ans de prison et 30 000 euros d’amende. Il va maintenant passer au Sénat, Le Guardian rapporte.

Les partisans disent que le projet de loi cible les sites qui se font passer pour neutre sources d’information sur l’avortement, mais sont en fait exploité par les groupes de pression qui cherchent à manipuler et la pression sur les femmes dans les pas de terminaison de la grossesse. La proposition a attiré les critiques de politiciens de droite et les organisations Catholiques, qui disent que cela porte atteinte à la liberté d’expression.

Une loi adoptée en 1993 en fait un crime d’intimider ou de pression sur les femmes en n’ayant pas recours à l’avortement. La loi a été initialement adoptée pour prévenir des activistes anti-avortement de bloquer l’accès à des cliniques d’avortement, à la suite d’une vague de manifestations au cours des années 1980. La proposition adoptée par la chambre basse de cette semaine serait d’étendre ce droit à des sites qui “exercent psychologique ou morale de pression” sur les femmes qui sont à la recherche de renseignements sur les avortements.

“La liberté d’expression ne doit pas être confondue avec la manipulation des esprits.”

“Il y a trente ans, les militants se sont enchaînés pour les cliniques d’avortement,” Laurence Rossignol, la socialiste la ministre de la famille, a déclaré au cours du débat de cette semaine. “Aujourd’hui, leurs successeurs continuent cette lutte sur le web”.