Regarder le dernier vol de la fusée Delta II parce qu’elle met un laser à impulsions satellite en orbite

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Demain matin, près de 30 ans fusée va prendre son tour final à l’espace. La Delta II, un véhicule fabriqué par United Launch Alliance qui a d’abord été lancé en 1989, va voler une dernière fois, l’envoi d’un Terre-l’observation satellite en orbite par la NASA. Si, demain, la mission se passe bien, ce sera le 100e vol réussi de la Delta II dans une rangée, tout en mettant fin à une fusée qui a lancé rovers sur Mars et des vaisseaux spatiaux de la ceinture d’astéroïdes.

À bord du dernier vol de la NASA ICESat-2, un satellite qui est chargé de mesurer la façon dont la terre et de la mer de glace autour des pôles de la Terre changent au fil du temps. C’est une mission de suivi de l’original ICESat vaisseau spatial, qui a observé la Terre de la glace de la transformation de 2003 à 2009. Les deux satellites utilisent le même outil sophistiqué: une pulsation du laser, qui rebondit sur la glace sur la surface de la planète, en disant scientifiques de l’étendue de la glace polaire ainsi que l’épaisseur de la calotte glaciaire.

“il sera beaucoup plus capables de l’instrument.”

“ICESat-2 construit sur les leçons tirées de la première ICESat,” Tom Neumann, un adjoint scientifique du projet sur ICESat-2 de la NASA Goddard Space Flight Center, raconte Le Point. “Et nous avons fait changer le design un peu entre les deux. Ainsi, il sera beaucoup plus capables de l’instrument et un beaucoup plus riche ensemble de données.”

Un rendu de ICESat-2 mesure de la glace polaire à partir de l’espace.

Image: NASA

ICESat-2 est d’un côté de la mission pour la finale de la fusée Delta II, qui a envoyé de nombreux engins spatiaux en orbite autour de la Terre. Dérivée de l’ancienne technologie des missiles balistiques, la Delta II s’est chargé de mettre le Télescope spatial Spitzer, au-dessus de notre planète, ainsi qu’à diverses climat des observatoires et des satellites météorologiques. Mais le véhicule a arraché notable de l’espace profond des missions. La Delta II a été le tour de la NASA de la planète-la chasse vaisseau spatial Kepler, et il a envoyé de la NASA, Spirit et Opportunity rovers à la surface Martienne. Et à l’exception de deux échecs dans les années ‘90, le Delta II s’est avéré être un assez fiable fusée pour le Royaume-Lancement de l’Alliance.

Mais en dépit de sa fiabilité et de sa longue histoire, l’ULA est prêt à se retirer du véhicule. Il ne volent pas très souvent, et de plus, l’ULA est axée sur la consolidation de son parc actuel de l’Atlas V et Delta IV Heavy véhicules de lancement, tout en développant une nouvelle fusée appelé Vulcain. Tous les trois peuvent offrir la même capacité que le Delta II peut, sans le coût supplémentaire de maintien de la Delta II en cours d’exécution.

Le dernier vol de la fusée est prévu pour le décollage de la base aérienne Vandenberg Air Force Base en Californie, à 8:46 AM ET

Le dernier vol de la fusée est prévu pour le décollage de la base aérienne Vandenberg Air Force Base en Californie, à 8:46 AM ET le samedi. ICESat-2 sera déployé en orbite autour de 52 minutes après le décollage. L’équipe de la mission sera alors exécuter quelques systèmes de contrôles sur le vaisseau spatial, avec des plans à tourner sur le satellite laser, ATLAS, environ deux semaines après le lancement. Une fois que l’ATLAS est en bonne santé, le plan est de commencer à recueillir des données à la mi – à la fin-octobre.

ICESat-2 est prévue pour durer au moins trois ans en orbite, avec assez de carburant pour durer jusqu’à sept ans, si nécessaire. Pendant ce temps, le satellite bombardent la Terre avec des lasers. Le ICESat-2 génère une lumière laser qui est divisé en six faisceaux, chacun de qui envoie 10 000 impulsions vers le bas à la Terre par seconde. Ces lasers frapper la glace sur notre planète et revenir vers le vaisseau spatial à bord du télescope. ICESat-2 mesure alors combien de temps il faut les lasers à retourner pour le satellite, qui indique la hauteur du véhicule est au-dessus de la Terre. Qui a finalement dit les scientifiques de l’épaisseur des couches de glace ci-dessous le satellite.

Image: NASA

ICESat-2 de l’orbite de la volonté de prendre le véhicule sur la même place sur la Terre, tous les 91 jours, permettant à l’équipe de la mission pour évaluer l’évolution de la banquise est en train de changer tous les quelques mois. Et puisque c’est dans l’espace, ICESat-2 peut observer la glace toute l’année, contrairement à d’autres de glace cartographie des campagnes sur la Terre. La NASA Opération IceBridge est un avion de mission que les études sur l’Arctique et de l’Antarctique plaques de glace, mais il ne peut pas voler quand les conditions météorologiques sont trop inhospitalier. De Plus, les pôles sont de grandes régions à couvrir. “Les plaques de glace sont vraiment gros,” dit-Neumann. “L’antarctique, par exemple, est d’environ la taille de la zone continentale des États-unis, plus le Mexique, et couvrant une surface par des aéronefs est tout simplement pas faisable. Si vous voulez une image de la façon dont l’ensemble de la calotte glaciaire est en train de changer, vous avez vraiment de la regarder du point de vue de l’espace.”

C’est une bonne nouvelle pour ceux qui sont intéressés à apprendre comment la modification de la mer aura un impact sur nos océans et de l’atmosphère. Comme la glace du Groenland et de l’Antarctique diminue, tout ce qui perd de l’eau devient déversés dans les océans, contribuant ainsi à l’élévation du niveau marin. De Plus, l’épaisseur de la glace aussi les influences de l’atmosphère de la Terre, affectant la façon dont la chaleur et l’humidité sont échangés entre les polaires des océans et de l’air. “Donc, par la mesure de l’épaisseur avec ICESAT-2, nous aurons une bien meilleure information pour prédire la glace de mer va changer”, dit-Neumann.

La NASA pour sa couverture de la ICESat-2 lancement est prévu pour débuter à 8:10 h (HNE). Revenez ensuite à assister à la finale du Delta II envoyer à un besoin laser en orbite.